L'artiste de cette oeuvre a un style de peinture unique, très différent de ce qui se fait ailleurs dans le désert australien, utilisant une technique de tamponnement pour créer de nombreuses touches brèves et brumeuses. Ceux-ci s'unissent pour former des arbres, des arbustes et des fleurs dans des couleurs douces.

Beasley évoque ici la splendeur du désert au moment où se développe une végétation dont les Aborigènes tirent une partie de leur subsistance.

Il n'hésite pas à utiliser la figuration pour représenter son territoire, à la manière occidentale.

Si les lieux représentés sont sacrés, nulle mention n’est faite des légendes liées à ceux-ci, trop secrètes pour être révélées.